Publié par SEO220040 le
Et si on prenait de la hauteur, beaucoup de hauteur, genre depuis les nuages pour observer ?
Observer ce qui se passe plus bas, sur terre.
N’est-ce pas une danse gigantesque de moults âmes incarnées au milieu de laquelle certains sont en train de naître, et d’autres de mourir…
Et entre les deux, que se passe t-il ?
Ne serait-il pas temps de nous poser… et de répondre à ces questions ?
Dans quelles conditions suis-je arrivé.e sur terre ?
Mes parents s’aimaient-ils ?
M’ont-ils reconnu.e ?
M’ont-ils tant attendu.e ?
Suis-je venu.e au monde seul.e ou avec un jumeau ou plusieurs ?
Ou bien peut-être que je suis le seul bébé venu à terme de la grossesse et depuis je me sens terriblement seul.e, incomplet.e ?
Mes parents, m’ont-ils choyé.e, dorloté.e, chouchoutté.e ou bien maltraité.e physiquement ou verbalement, ou encore abandonné.e ?
Et qu’ai-je fait ensuite ?
Ai-je reproduis l’amour que j’ai tant reçu, ou au contraire, suis-je resté.e dans la rancœur de celui dont j’ai tant manqué ?
Ai-je reproduis la colère, la haine, et les blessures de mes parents, de ceux qui m’ont élevé.e ?
Ou au contraire ai-je transmuté cette souffrance en amour, celui qui n’avait pas de place avant que je me défasse d’eux ?
Quelle partie de moi, quel ressenti de mon arrivée sur terre ai-je nourrit ?
Qu’ai-je choisi de transmettre autour de moi ?
Suis-je aujourd’hui, en train de faire honneur à l’incarnation que mon âme a choisi pour l’être humain que je suis ?
Ou bien, suis-je en train de m’auto-saboter, voire de m’auto-détruire par le non respect de qui je suis au plus profond de moi ?
Mais au fond justement, qui suis-je ?
Ne sont-ce pas des questions qui méritent d’être posées, d’être écoutées, entendues, et abordées ?
Et si vous vous disiez ceci…
“Quelles que soient les conditions dans lesquelles Je suis arrivé.e sur terre, quelles que soient les expériences d’amour et de haine que J’ai vécu,
je n’ai jamais à douter que Je suis un être humain digne d’amour, en commençant par celui que je me porte à Moi-m’Âime.
J’ai peut-être été victime de violences.
J’ai peut-être fait subir des violences à autrui ou à moi-même.
Soit, je ne peux plus changer le passé, mais je peux créé le présent et l’avenir en modifiant mon système de croyances.
Car oui, tout cela vient de la nourriture que je donne en trop à la partie sombre de mon être.
Et mon Être, n’est pas les faits, s’identifier à eux ne peut que me scléroser et m’empêcher de vivre dans la bonne fréquence.
Celle de l’âmour, l’unique créatrice de la vie, de l’envie, de la joie et des bonheurs.”
Et si vous commenciez à l’apauvrir cette partie de vous qui se victimise, qui se sabote, qui se juge, qui se dévalorise et qui est triste ?
Si vous commenciez à nourrir la partie lumineuse qui vit en vous, aussi infime vous pensiez qu’elle puisse être ?
Comment ?
Pour commencer, il est incontournable de conscientiser cet état de fait.
Ensuite, il y aura la volonté inébranlable de devenir vous-m’Âime à part entière, sans plus aucune étiquette liée aux faits qui ont précédé.
Ce qui se fera via l’ex_pression de cette souffrance, celle que vous laissez se crystalliser dans vos cellules.
Pour se faire, il y a moults manières qui co-existent et qui sont à votre portée tout autour de vous, avec toutes sortes d’accompagnants bienveillants pour vous y aider.
Suivez votre intuition, votre cœur, vos ressentis, ceux qui vont mettent en joie et en confiance, afin de choisir la manière et l’accompagnant qui vous correspondront le mieux.
La terre regorge de belles âmes qui ont bien souvent déjà souffert, et qui ont décidé de mettre au profit des autres, leurs expériences et l’évolution de leur être, leurs apprenti_sages.
Attention, pour rappel : personne d’autre que vous m’Âime ne pourra le faire pour vous, c’est de vôtre responsabilité de faire le 1er pas et tous les suivants.
Si vous voulez une illustration, je vous invite à lire mon précédent article, C’est le Je ma pauv’ Lucette, le Je qui naît qu’un jeu dont vous êtes l’acteur.
Honorer sa vie, en être pleinement acteur revient à cesser de fuir votre être, car c’est comme votre ombre, il ne vous lâchera jamais.
Il s’est incarné pour n’être seulement, pas pour faire essentiellement.
Vous vous demandez sans doute, mais quelle est la clé de sortie de ma triste vie pour entrer dans ma joyeuse vie ?
Eh bien, il n’y en a qu’une seule, aucune autre : l’âmour de Soi, celui qui fera irradier votre lumière et ainsi qui brillera en-dehors afin de modifier vos comportements, qui peuvent parfois être destructeurs envers vous-même et les autres.
Prendre la décision et faire le 1er pas dans une thérapie, un accompagnement, est un acte d’Âmour très fort pour votre Être et pour les gens qui sont tout autour de vous.
Pourquoi pour eux aussi ?
Parce que si vous allez mieux, ils iront mieux car ils ne se soucieront plus de vous avec la peur de ce qui pourrait se produire de douloureux.
Cela induira un changement dans vos relations, cela aura le même effet que les ondes qui émanent des énergies ou lorsqu’on lance un galet dans l’eau et que des ondulations se créent en formant des cercles de plus en plus grands autour.
Apprendre à s’aimer nous ouvre la porte de la vie, la vraie, la mère_veilleuse qui nous met en joie, celle qui est parfaitement imparfaite.
Ensuite, nous tous, retournerons d’où nous venons, sans corps physique, mais dans l’âmour inconditionnel pure, dénué de juge_ment et infini.
Alors d’ici là, si vous osiez naître vous m’âime ?
“On naît/est, on vit, on meurt et c’est ainsi ! Alors si entre l’entrée et la sortie on essayait d’être en_vie ?!”
Finalement, ne sont-ce pas des questions dont les réponses content sur nous…?
Lucie